Nous sommes très heureuses de vous offrir le don de ces paroles ; des histoires de femmes comme vous et moi, packagées avec des défis quotidiens. Ceci est pour VOUS. Nous prions pour que ce soit un cadeau pour votre âme et que vous puissiez trouver une douce paix tandis que vous passez des moments dans la présence de Dieu. Que l'amour et l'affection profonds de Christ soient à l’œuvre en vous dans les jours à venir. Nous vous aimons et nous sommes avec vous. Beaucoup d'amour à vous, nos chères amies !
C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le ventre de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et je le reconnais bien.
En tant que mère de deux filles, un de mes plus beaux souvenirs d’elles remonte à lorsqu’elles étaient petites. Je les observais lorsqu’elles jouaient à se costumer dans leur robe de princesse préférée. Elles portaient une attention particulière à placer le tulle sous leur jupe afin qu’elle ait l’ampleur parfaite. Puis elles déposaient délicatement sur leur tête la couronne de faux diamants, avant d’enfiler leurs talons hauts assortis. Et enfin, le moment tant attendu… Elles s’apercevaient dans le miroir et elles s’arrêtaient… se regardaient avec intensité… elles tournaient sur elles-mêmes… et souriaient. Elles étaient complètement subjuguées par ce qu’elles voyaient – leur image dans le miroir était la plus extraordinaire, la plus merveilleuse qu’elles aient jamais vue ! Elles se trouvaient belles. Elles ne se souciaient pas qu’il y ait encore des traces du petit-déjeuner sur leur visage ou que leurs cheveux aient encore leurs faux plis de la nuit. Tout ce qu’elles voyaient, c’était la fille ravissante qui les fixait et qui était magnifique sous tous les angles !
Puis soudainement, nous changeons d’une petite fille qui se regarde avec admiration en femme qui se dévisage devant le miroir avec un regard critique et désemparé. Nous cessons de nous voir comme notre Créateur nous voit et nous commençons à nous voir telle que le monde nous dit que nous devrions nous voir.
Nous commençons à croire au mensonge qui veut que « merveilleuse » doit ressembler à ceci ou à cela, que notre estime se trouve dans tel succès ou du fait de posséder telle chose, et que notre valeur dépend de notre popularité sur les médias sociaux et du nombre de « j’aime » que nous accumulons quotidiennement. En Psaumes 139, David loue Dieu parce qu’il reconnaît qu’il est une créature merveilleuse. Croyez-le ou non, c’est la vérité pour chacune d’entre nous ! Dieu est le plus grand artiste qui soit et il nous a créées à SON image. Chaque détail vous concernant est extraordinaire. Prenez un moment pour vous imprégner de cette réalité.
Trop souvent, lorsque nous nous regardons dans le miroir, plutôt que de nous voir comme une créature merveilleuse, nous remplaçons le « merveilleuse » par des qualificatifs tels que « honteuse », « imparfaite », « décevante », « ordinaire », « laide », ou même un « accident ». Les étiquettes que nous nous apposons discréditent les qualités artistiques de Dieu et brisent le coeur de notre Créateur. Ce qu’il faut savoir et intégrer jusqu’au plus profond de notre âme, c’est que Dieu, notre Créateur, notre Père ne fait pas d’erreurs. La Bible dit que ses oeuvres sont merveilleuses – c’est de VOUS dont il est question ici !
Voici la définition de « merveilleuse » : qui est admirable au plus haut point, qui suscite du plaisir et de l’admiration, extrêmement bonne, magnifique ! Chère amie, c’est exactement la façon dont Dieu vous voit et c’est ainsi qu’il veut que vous vous voyiez lorsque vous vous regardez dans le miroir.
Épouse du directeur de Red Rocks Church et décorateur d’intérieur
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Quels sont les sentiments de Dieu a à votre égard ? Croyez-vous que vous avez été créées pour un but et avec un but ?
Y a-t-il une chose que vous voudriez que Dieu fasse dans votre vie dans les prochains 21 jours ?
Je vous mets au défi d’écrire le verset de Psaumes 139:13-14 et la définition de « merveilleuse » et de placer ce bout de papier sur votre miroir pour que chaque jour, pendant les 21 prochains jours, vous puissiez vous rappeler de la façon dont Dieu vous voit. Après un moment, peut-être que vous pourrez recommencer à le croire !
Vous tous qui avez soif, venez aux eaux, même celui qui n'a pas d'argent ! Venez, achetez et mangez, venez, achetez du vin et du lait, sans argent, sans rien payer ! Pourquoi pesez-vous de l'argent pour ce qui ne nourrit pas ? Pourquoi travaillez-vous pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi donc, et vous mangerez ce qui est bon, et votre âme se délectera de mets succulents. Prêtez l'oreille, et venez à moi, écoutez, et votre âme vivra : Je traiterai avec vous une alliance éternelle, pour rendre durables mes faveurs envers David.
Je conduis la louange pour « gagner » ma vie, ça peut sembler un mauvais slogan dans le milieu chrétien (il n’en est rien, promis !), mais la chose qui me fait me sentir le plus proche de Dieu, c’est la louange. J’ai grandi à l’église, mais dans une maison où mes parents se disputaient beaucoup. Quand je dis « disputer », je ne veux pas dire qu’ils avaient seulement des tas de sujets de désaccord. Leurs affrontements étaient effrayants. Ils se criaient dessus, se menaçaient, et toutes les autres choses qui font qu’une jeune fille se demande si sa famille est à quelques secondes près de tomber en morceaux.
Ayant grandi à l’église, j’ai appris fort jeune qu’il faut se réfugier en Dieu lorsqu’on est contrariée. Alors c’est ce que je faisais. Quand mes parents s’emportaient l’un contre l’autre et que j’étais apeurée ou contrariée, j’allais dans ma chambre, je fermais la porte et je priais/écoutais des chants de louanges. La louange est devenue un refuge et un lieu de guérison pour moi à un jeune âge et je pense que cela m’a suivi dans chacune des saisons de ma vie.
Ces moments de louanges ne sont pas toujours pimpants et bien orchestrés. Le plus souvent, ils sont plutôt brisés, chaotiques et même parfois colériques. Mais Dieu me rencontre là, malgré tout. En fait, plus je suis vulnérable et vraie dans ces moments et plus j’en ressors libérée et en paix. Il m’a fallu quelque temps pour comprendre et croire que je peux réellement TOUT dire à Dieu. Même les choses qui me font craindre qu’il se mette en colère contre moi. Il peut le gérer, il le SAIT déjà et il veut l’entendre de MOI. Je n’ai pas compris cela en une nuit. C’est une relation qui s’est développée au fil du temps à force de revenir constamment vers lui.
Lorsqu’on veut se rapprocher de quelqu’un, il faut lui faire confiance, et pour que la confiance s’installe, il faut simplement passer du temps ensemble. Nous avons tendance à faire de la louange quelque chose de compliqué, mais ça peut être aussi simple que de se présenter devant lui telle que l’on est. Présentez-vous heureuse. Présentez-vous triste. Présentez-vous brisée. Présentez-vous comblée. Peu importe ce que vous vivez, où vous en êtes, choisissez simplement de vous présenter devant lui et regardez ce que Dieu fera.
Directrice de la louange pour RRC
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Quelle chose dans votre vie vous amène à être plus proche de Dieu ? Comment pouvez-vous créer du temps pour cette chose aujourd’hui ?
Quelle chose vous détourne/distrait de Dieu ? Comment pouvez-vous limiter ou éliminer cette chose de votre vie ?
Pensez à une nouvelle façon originale de vous connecter avec Dieu aujourd’hui. Peu importe ce que vous décidez, pensez à une façon créative d’instaurer cette bonne habitude pour votre âme dans votre vie aujourd’hui.
Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.
Déjà étant petite, j’aimais être active ! Très souvent, j’allais dehors jouer au football avec mon grand frère, faire des roues sur le terrain devant la maison ou virevolter dans la cuisine dans ma robe rose de ballerine Minnie Mouse. Jusqu’à ce jour, j’aime toujours louer Dieu par le mouvement, que ce soit en jouant au basket, en faisant une session d’entraînement, ou de l’escalade ! Je prends des notes à propos de la femme merveilleuse de Proverbes 31, dont on entend beaucoup parler : « Elle ceint de force ses reins, et elle affermit ses bras. » (Proverbes 31:17, LSG). Je désire honorer Dieu dans mon corps en étant en forme physiquement et en mangeant des aliments nutritifs, parce que Jésus a payé un grand prix en mourant sur la croix pour moi, afin que je vive et que je marche dans cette liberté qui est accessible à tous. J’ai appris qu’être disciplinée dans ma routine d’exercice et de préparer des aliments nutritifs, c’est une façon de louer Dieu.
Dans la même ligne de pensée, j’ai appris que reposer mes muscles endoloris ou mettre de la glace sur une blessure est aussi une façon d’honorer Dieu. « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. » (1 Cor. 10:31, LSG). Loué soit le Seigneur parce que parfois « glorifier Dieu dans nos corps », c’est parfois aller courir ou manger une salade, et parfois c’est se reposer et manger un beignet – Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon (Psaumes 34:9, OST) ! Puis-je entendre un AMEN ?
Mon cheminement dans le domaine de la santé et mon apprentissage à savoir comment traiter mon corps comme un temple saint n’ont pas toujours été simples comme une promenade de santé. Je me suis rendue coupable d’idolâtrie lorsque je m’entraînais dans l’espoir d’avoir un corps parfait, mais Dieu m’enseigne l’importance d’être douce envers mon corps. J’avais l’habitude de ne jamais manquer un entraînement. Maintenant, j’évalue si mon corps a besoin de repos et de relaxation plutôt que de le forcer à brûler des calories. À la place de regarder dans le miroir et de voir des imperfections, Dieu m’a appris à me regarder dans le miroir et à le remercier parce que je peux bouger les bras et les jambes, marcher, sauter, danser ! Parce que Jésus est mort pour moi et qu’il est victorieusement ressuscité, je veux le louer en traitant mon corps avec le plus grand respect, et cela inclus également les mots que j’emploie envers moi-même ! Je vous mets au défi de vous parler comme si vous parliez à Christ, parce qu’il vit en vous et il a établi sa demeure dans votre coeur.
Mes amies, nos corps sont des temples magnifiques – des demeures sacrées pour le Saint-Esprit –des sanctuaires merveilleux qui contiennent la présence même de Dieu. Je désire vous rappeler que votre corps est BEAU ! Notre Père céleste dit ceci de vous : « Tu es toute belle, mon amie, et il n'y a point en toi de défaut. » (Cantique des cantiques 4:7). Il se réjouit en vous – sa fille bien-aimée. Vous êtes un chef-d’œuvre précieux et une œuvre d’art !
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Quelle chose vous donne le sentiment d’être vivante ? Comment pouvez-vous trouver le temps pour faire cette chose aujourd’hui ?
À quel moment vous sentez-vous à votre meilleur ? À quoi ressemblent votre régime, votre horaire de sommeil et votre routine d’exercices en cette période ?
Nommez une chose que vous pouvez faire qui est saine et qui vous aide à vous remplir d’énergie ? Même si c’est seulement pour 15 minutes, réorganisez votre horaire aujourd’hui pour avoir le temps de faire cette chose.
Par-dessus tout, veille soigneusement sur ton cœur, car il est à la source de tout ce qui fait ta vie. Garde-toi de prononcer des propos tordus, rejette les discours pervers. Regarde bien en face de toi, et que ton regard se porte droit devant toi. Observe bien le chemin sur lequel tu t’engages, et emprunte des routes sûres.
J’ai gaspillé d’innombrables années à croire le mensonge que Satan voulait me faire croire : ignorer mes propres besoins, émotions, désirs était la « bonne » chose à faire. Plaire aux gens est devenu mon mécanisme de défense pour diminuer l’anxiété que je ressentais si/quand je percevais la désapprobation ou le désappointement de quelqu’un à mon égard. Ensuite, cela s’est rapidement transformé en mesure préventive. Pourtant le Seigneur ne m’a pas créée afin que je m’ignore. Assumer ma santé émotionnelle signifiait que je devais arrêter de mettre de côté les émotions que mon coeur expérimentait. Je n’avais aucune idée de la signification de l’expression « prendre soin de soi », je croyais en fait que c’était une mode inventée pour que les gens puissent s’enfoncer dans leurs propres désirs et besoins égoïstes. Je n’avais jamais pris le temps de syntoniser mon coeur, de m’asseoir assez longtemps avec lui pour réellement savoir comment j’allais. Et nous ne pouvons pas prendre soin de quelque chose dont on ne sait rien.
Dans le livre de Peter Scarrozo, « Emotionally Healthy Spirituality », l’auteur écrit :
« Ignorer nos émotions, c’est tourner le dos à la réalité. Écouter nos émotions, nous conduit dans la réalité. Et la réalité, c’est là où l’on rencontre Dieu. Les émotions sont le langage de l’âme. Elles sont le cri qui donne au cœur une voix. »
Le Seigneur ne se sent pas menacé par nos émotions. Il est, en fait, celui qui a créé notre capacité à les ressentir ! Quand nous reconnaissons honnêtement ce que nous expérimentons, c’est alors et seulement alors que nous pouvons décider de comment nous voulons les gérer. La crainte d’être envahie par mes sentiments me fait me tenir loin d’eux. Non seulement je me prive de l’opportunité de les amener à Dieu pour trouver son réconfort et sa direction, et avoir une expérience de connexion avec lui, mais j’abandonne tout le pouvoir sur la chose même que j’essayais d’éviter. L’importance du verset 23 ne devrait pas être minimisée : [Ton coeur] est à la source de tout ce qui fait ta vie. Nous devons jouer une part active à créer et à maintenir une santé émotionnelle dans nos vies, et nous avons une relation avec ce Dieu qui a créé notre coeur et veut prendre soin de son bien-être mieux que nous ne pourrons jamais savoir comment le faire nous-mêmes.
Prendre soin de soi peut être une myriade de choses différentes ; on peut établir des limites avec la personne qui nous démolit constamment, on peut savourer longuement son café le matin pour bien démarrer la journée, on peut dire non à une invitation, ou encore dire oui à l’invitation. On peut permettre aux larmes qu’on retient de couler, on peut faire son jogging. Sois créative, amuse-toi, sois à l’écoute. Le Seigneur est tellement bon d’être si clair avec nous sur l’importance de l’état de notre cœur. Puissions-nous intentionnellement prendre soin de notre coeur.
Thérapeute et coordonnatrice pour RRC MOPS
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De quoi devez-vous protéger votre coeur aujourd’hui ? À quoi cela ressemble-t-il concrètement ?
Rappelez-vous la saison de votre vie où vous vous êtes sentie le plus stable émotionnellement. Quels sont quelques dénominateurs communs de cette saison ? Avez-vous perdu de vue certains d’entre eux dernièrement ?
Écrivez cinq choses pour lesquelles vous êtes reconnaissante :
1.
2.
3.
4.
5.
Durant cette semaine, lisez cette liste à haute voix « Mon Dieu, merci pour ____________. »
Avant tout, prends garde à ce que tu penses au fond de toi-même, car ta vie en dépend. Ne laisse pas ta langue être fausse, ni tes lèvres prononcer des paroles trompeuses. Que tes yeux fixent les gens bien en face, regarde droit devant toi avec franchise.
J’aime que la Bible soit directe et simple. J’ai besoin de cette instruction claire de la part de Dieu. « Nos pensées mènent notre vie, ne dis jamais des choses qui ne sont pas vraies, continue de rechercher ce qui est bon… » Ces vérités et ces directives fortes de Dieu nécessitent une grande foi pour être mises en œuvre, mais elles apportent une grande paix lorsque la vie devient difficile et que j'ai l'impression que mon esprit et mon bien-être mental pourraient être au bord du gouffre.
Avez-vous déjà scruté votre propre mode de pensées ? Après avoir entendu des mauvaises nouvelles, avoir vécu un conflit avec un proche, une séparation difficile, ou passer à travers une situation traumatique, avez-vous déjà pensé à ce que vous pensez ? Notre esprit et la façon que l’on gère/catégorise les événements extérieurs déterminent comment nous menons notre vie, parce que nos actions suivent ce que nous pensons et croyons.
J’ai récemment reçu un appel téléphonique de ma maman qui me communiquait la pire nouvelle que l’on peut entendre de sa mère. Mon papa a été infidèle, et il a gardé la chose secrète pendant 4 ans. Boom. Même à 27 ans, la fille et l’enfant en moi ont été immédiatement ébranlés. Dans les jours qui ont suivi, je savais que je devais faire très attention à mes pensées.
Quand nous recevons une nouvelle qui bouleverse notre vie dans ses fondements et potentiellement aussi notre identité, le seul désir de l’ennemi est de gagner du terrain dans notre esprit et faire des ravages dans ce que nous pensons de nous ou des autres. Puisque nous savons que le but de l’ennemi est de voler, tuer, et détruire, il est évident qu’il attaquera dans les moments où nous nous sentons le plus désemparées.
Pendant les deux semaines qui suivirent, mes pensées allaient dans tous les sens. À chaque fois qu’une nouvelle pensée me venait à l’esprit à propos de moi, mon mariage, mes parents, mes frères et soeurs, je combattais spirituellement afin qu’aucune mauvaise pensée ne prenne racine et je me répétais en boucles les bonnes pensées.
J’aime mon père, mais je ne suis pas comme lui en cela. Mon mariage n’est pas celui de mes parents. Je me bats pour construire sur une fondation solide en Christ. Dieu a du bon pour mes parents, même maintenant…
Mettre cela en pratique n’est pas facile, mais Paul dit dans Philippiens au chapitre 4 : « Le Dieu de paix est avec nous. » Ton esprit et tes pensées sont importants pour Dieu et pour les autres.
RRC Employée du ministère de soins
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Si vous aviez une transcription de toutes vos pensées des dernières 24 heures, quel en serait le thème le plus commun ?
Quel mensonge croyez-vous encore à propos de vous-même ? Comment pouvez-vous remplacer ce mensonge par une vérité de la Parole de Dieu ?
Transcrivez Philippiens 4:6 quelques fois dans l’espace ci-dessous. Aujourd’hui, prenez le temps de le mémoriser et prêchez-vous son message chaque fois que les inquiétudes vous rattrapent.
Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres.
PRENEZ DU TEMPS – NOUS AVONS TOUTES UNE HISTOIRE
Comme Jésus était en chemin avec ses disciples, il entra dans un village, et une femme, nommée Marthe, le reçut dans sa maison. Elle avait une soeur, nommée Marie, qui, s'étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole. Marthe, occupée à divers soins domestiques, survint et dit : Seigneur, cela ne te fait-il rien que ma soeur me laisse seule pour servir ? Dis-lui donc de m'aider. Le Seigneur lui répondit : Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour beaucoup de choses. Une seule chose est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, qui ne lui sera point ôtée. Luc 10:38-42 (LSG)
Je m’identifie tellement à cette histoire, je pense que nous le pouvons toutes. Nous avons des CHOSES. À. FAIRE., n’est-ce pas mesdames !? Nous avons des courses à faire, des bouches à nourrir, des parents sur qui veiller, des amies à rencontrer, des collègues avec qui entretenir la relation, des voisins à voir, faire des courses, cuisiner, nettoyer… Je pourrais continuer longtemps, et vous aussi ! Remarquez Marthe dans cette histoire. Elle a des choses à faire, elle est occupée, elle veut que ce dîner soit parfait parce que Jésus, le Sauveur du monde, vient d’entrer dans sa maison ! Maintenant, relisez ce qui est dit de Marie, « ... qui, s'étant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole ». Elle s’est assise, elle a écouté, elle a intériorisé ce que Jésus disait. Elle savait que s’asseoir pour interagir avec Jésus était la meilleure chose à faire.
Mesdames, je n’irai pas par quatre chemins. Parfois, nous devons nous arrêter, nous devons nous asseoir et investir. Investir dans ce que Dieu veut que nous entendions. Asseyez-vous et écoutez l’histoire de votre amie, l’histoire de votre voisine. Prenez le temps d’être une oreille pour quelqu’un et laissez vos affaires de côté pour un temps. Dites à Jésus : « Tu es important pour moi ». C’est cela le bien-être relationnel. « Mon amie, tu es importante pour moi. » « Voisine, tu es importante pour moi. » « Ma sœur/mon frère, tu es important pour moi ! » J’ai récemment entendu cette citation : « Les histoires des gens sont plus sacrées que toute autre chose dans cette vie. Si vous vous posez des questions quant à votre travail ou sur le but de celui-ci, soyez seulement une personne qui fait de l’espace pour l’histoire des gens et qui les reçoit avec grâce, et à la fin de ta vie vous aurez oeuvré bien plus que vous ne l’aurez imaginé. » – Chad Bruegman.
Prenez le temps – Nous avons toutes une histoire.
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Y a-t-il quelqu’un dans votre vie qui fait de vous une meilleure personne et avec qui vous avez perdu contact ? Prenez du temps pour reconnecter aujourd’hui.
Y a-t-il une personne toxique dans votre vie ? Quelles limites allez-vous établir concernant cette personne aujourd’hui ?
Appelez ou envoyez un texto à une personne qui a été importante pour vous pendant cette année folle. Remerciez-la d’être toujours là pour vous et demandez-lui s’il y a quelque chose que vous pourriez faire pour l’aider cette semaine.
Un docteur de la loi se leva, et dit à Jésus, pour l'éprouver : Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? Jésus lui dit : Qu'est-il écrit dans la loi ? Qu'y lis-tu ? Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même.
Faites-en un peu chaque jour. C’est mon meilleur conseil, et je le mets en pratique personnellement et professionnellement depuis des années ; durant mes études, divers emplois, mon mariage, ma maternité, ma vie avec des enfants en bas âge durant les changements et revirements que l’année 2020 nous a imposés à toutes. Je suis tout à fait pour avoir un « grand objectif » et « escalader une grande montagne », mais je crois vraiment qu’il y a de la valeur dans les petits moments et dans les victoires graduelles.
Quand il s’agit de notre bien-être, nous visons bien souvent de grands objectifs, alors que de simples objectifs quotidiens peuvent avoir un impact cumulatif plus important. Après la naissance de mon fils, j’ai fait une liste de quatre petits rituels quotidiens qui m’aideraient à survivre à mon manque de sommeil en ces jours d’hiver : mettre du mascara (le dispendieux que j’ai reçu pour mon anniversaire et qui me fait sentir chaque fois comme une reine), marcher dehors (même si ce n’est que pour aller chercher le courrier), écouter quelques minutes d’un livre audio (mais pas une histoire bébête, quelque chose qui stimule mon mental), et lire Romains 8 (pour la millième fois). Des rituels à petites doses pour prendre soin de l’émotionnel, du physique, du mental et du spirituel dans une saison d’intenses changements dans notre vie personnelle.
Je ne vais pas vous mentir et vous dire que ces choses ont transformé drastiquement ma saison de postpartum en quelque chose de facile, ou que mon minuscule bébé naissant s’est mis à dormir comme une marmotte, pour respecter ma routine holistique (alerte spoiler : il ne dormait PAS plus !). Mes enfants sont mignons, mais ils n’aiment vraiment pas dormir. Toutefois, je voudrais vous dire que ces petits moments quotidiens d’investissement dans ma santé holistique ont servi d’ancrage pour moi. Peut-être que le maquillage de reine n’est pas le bon truc pour que vous vous sentiez mieux émotionnellement, et peut-être préférez-vous un bon psaume pour bien entamer votre journée. Aucun problème ! Les rituels doivent être spécifiques à vous, selon la saison de votre vie, afin qu’ils vous redonnent de la vigueur.
Nous lisons souvent le verset : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même. » (Luc 10:27) et nous passons à côté de certains éléments majeurs de ce verset. Lisons-le à nouveau : coeur, âme, force, et pensée. Bien-être émotionnel, spirituel, physique, et mental. Il y a sans aucun doute encore d’autres couches de compréhension à ce verset, mais en le lisant dans cette optique, il est clair que Dieu se soucie de nous de manière « holistique », complète, et parfaite.
Voulez-vous connaître un élément de la vie de tous les jours de Jésus dont on ne parle pas souvent ? Jésus était complètement homme et il faisait des siestes. IL FAISAIT DES SIESTES. Puis-je entendre un amen, les étudiantes universitaires ? Les dirigeantes d’entreprise ? Les mamans ? Fondamentalement, tous.les.types.de.femme ?! Savez-vous ce qu’il faisait encore ? Il s’éloignait dans un lieu tranquille pour rassembler ses pensées et communier avec son Père. Il a pleuré avec ses amies qui étaient effondrées émotionnellement après le décès soudain de leur frère. Il a cuisiné le petit-déjeuner pour Pierre sur la plage, parce qu’il savait qu’il serait affamé après une longue nuit de pêche infructueuse. Il était complètement Dieu et il était complètement homme. Ainsi, évitons d’oublier qu’il nous aime dans toute notre humanité. Il est là pour relever notre tête fatiguée, essuyer nos yeux pleins de larmes, et pour nous rappeler qu’il nous aime EXACTEMENT ici, EXACTEMENT là où nous en sommes. Je suis ici pour vous dire aujourd’hui que si Jésus pouvait prendre le temps de s’occuper de sa propre humanité et de celle des autres – leurs besoins physiques, mentaux, émotionnels, et spirituels –ne devrions-nous pas faire de même ?
Lorsque vous planifiez votre journée, votre semaine ou votre mois, je vous encourage à penser à quelque chose que vous pouvez faire chaque jour, à petite dose, pour contribuer à votre bien-être physique, émotionnel, mental et spirituel. Faites-le chaque jour et demandez à Dieu comment vous pouvez « aimer le Seigneur votre Dieu » dans toute votre belle humanité chaotique.
Membre du staff de RRC Bruxelles
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Y a-t-il une chose qui, selon vous, manque à votre vie ? Que devez-vous changer à votre routine quotidienne pour que cette chose prenne place ?
Y a-t-il une blessure toxique, une habitude, une dépendance que vous ne voulez pas dans votre vie ? Quel moyen pratique pouvez-vous utiliser aujourd’hui pour que cela se passe ?
Décrivez la meilleure (et la plus saine) version de vous-même.
Prenez un papier et un crayon, et en quelques minutes écrivez autant de détails que vous pouvez sur vous-même. Ne vous souciez pas tant de votre apparence, mais plutôt de comment vous vous sentez et de l’impact que vous avez sur les gens autour de vous. Le fait même d’écrire et de clarifier dans votre pensée qui Dieu a créé exactement en vous créant est un énorme pas de l’avant !
Priez sans cesse.
Soyons honnêtes, nous avons toutes une histoire avec la prière. Nous avons la mauvaise habitude de baser notre succès spirituel sur notre capacité et notre volonté de prier. Lorsqu’on met en équation ce qu’on affectionne avec notre volonté à faire cette chose, le problème est évident : moins de ferveur = plus de distance. Je savais que rien ne pouvait me séparer de l’amour de Dieu, mais quelque chose dans mon comportement trahissait ce que je croyais. Si je négligeais la prière ou si je ne priais pas comme je pensais devoir le faire, j’entrais dans une spirale descendante. Je devais forcément m’éloigner de Dieu, élargissant lentement la distance entre nous en n’entretenant pas la relation. J’ai grandi dans une congrégation intellectuelle où les croyants chevronnés maniaient les mots avec articulation et finesse. Cela a fait naître en moi un ardent désir d’élégance. Même dans mes prières privées, je m’efforçais d’avoir une certaine éloquence ayant une apparence d’improvisation ; je fouillais dans mes pensées comme si j’avais un public à impressionner. Cela a été mon quotidien une grande partie de ma vie chrétienne. Je me contraignais à certains comportements, et je considérais sombrement la joie qui avait poussé Paul à encourager les Thessaloniciens à « prier sans cesse ».
Déménager à l’étranger a bousculé toutes les routines que j’avais établies, déstabilisant mon identité fondée sur les rituels rattachés à ma famille, à mes amis, à mon travail et à mon foyer. Ce fut une saison de ralentissement ; une perturbation de mon quotidien, un anonymat silencieux. Au cours des dernières années, ma façon de prier a changé. Je me suis alors demandé si je m’étais éloignée, mais, en fait, la seule chose qui a changé, c’est que je ne parle plus autant. Quand la culpabilité ou le conditionnement me poussent à composer une prière parce que « je suis censée le faire », j’essaie de calmer mon cœur et je porte attention à ma respiration. J’ai été inspirée par les pratiques contemplatives axées sur la pleine conscience et sur le fait d’être présente dans le moment et l’espace. J’ai été attirée par la facilité naturelle de la respiration dans la prière ; calmant mon esprit méthodologique et permettant à tout mon corps de communier avec Dieu.
Au lieu de me soucier de bien faire les choses, j’ai commencé à me soucier de reconnaître le Saint-Esprit. J’inspire, j’expire.
Je reconnais que les Écritures comparent l’Esprit au souffle de Dieu planant au-dessus des eaux de la création, s’engouffrant comme un vent vivifiant dans la vallée des os desséchés, tombant comme un feu à la Pentecôte. J’inspire, j’expire.
Je laisse sortir mes paroles et toutes les choses que je pense avoir besoin de dire, parce que le Dieu qui me connaît les connaît déjà. J’inspire, j’expire.
Je suis remplie du même Esprit qui a ressuscité Christ d’entre les morts ; il n’y a nulle part où je puisse aller loin de la présence du Saint-Esprit, et maintenant je suis l’incarnation de Jésus sur la terre. J’inspire, j’expire.
Les jours où j’ai envie de lutter pour telle ou telle chose, je laisse mon souffle me rappeler que ni mon manque d’effort ni ma dévotion résolue n’accompliront ce que Christ a déjà accompli : une appartenance constante, une relation indéfectible, une présence pénétrante. Alors, je laisse mon souffle être ma prière. Le souffle est un rappel vital et perpétuel du don de l’Esprit Saint, de la réalité de la résurrection de Christ et de la subsistance donnée à chaque instant. L’exhortation de Paul semble enfin atteignable : si je respire continuellement, alors je prie continuellement.
Directrice de la louange pour RRC Bruxelles
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Be the Bridge de Latasha Morrison
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La musique des 101 Dalmatiens. Beaucoup. Le smooth jazz incite étrangement mon bambin tasmanien à s’asseoir calmement près de la fenêtre et à regarder dehors pendant quinze minutes consécutives magiques.
Comment décrivez-vous vos pratiques actuelles de prière ? Vous sentez-vous comblée ou frustrée ? Proche ou distante ?
Prier vous semble-t-il constamment une idée intimidante ou passionnante ? Pourquoi pensez-vous que la prière est parfois une lutte ? Pensez-vous qu’il existe une bonne formule pour la prière ?
Prenez cinq minutes aujourd’hui pour vous asseoir calmement et respirer. Portez attention à la régularité de l’inspiration et de l’expiration et rappelez-vous que l’Esprit de Christ respire en vous et à travers vous. Inspirez l’Esprit de Dieu, expirez l’Esprit de Dieu. Reconnaissez que tout comme votre respiration assure la vie de votre corps, la vie de votre âme est assurée par le Christ ressuscité. Laissez votre corps se détendre, permettez à votre esprit de ralentir et d’être en paix.
Jésus le vit couché et, sachant qu’il était malade depuis longtemps, il lui dit : « Veux-tu être guéri ? » L’infirme lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine quand l’eau est agitée, et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. » « Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton brancard et marche. » Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son brancard et se mit à marcher.
« Nous avons trouvé plus de cancer que prévu durant l’intervention... » Tels furent les mots du chirurgien expliquant à mon père et à mes deux sœurs ce qu’ils avaient trouvé dans le cerveau de ma mère après une chirurgie de 6 heures. Pour être honnête, tout ce qu’il a dit à propos des étapes suivantes était un peu flou. Je n’avais jamais reçu un tel coup de poing du désespoir qui vous coupe le souffle jusqu’à ce que ces mots retentissent à mes oreilles.
Certaines d’entre vous ont connu le trou noir béant du désespoir dans leur âme. Le désespoir s’est peut-être introduit à un moment où vous ne contrôliez pas une situation, où vous avez été exploitée ou avez vécu comme moi une tragédie touchant un membre de la famille ou un(e) ami(e). Le désespoir s’est peut-être installé dans votre esprit. Des pensées d’anxiété, de dépression et de suicide ont complètement ravagé toute trace de l’espoir auquel vous vous étiez accrochée.
Dans mon cheminement pour retrouver l’espoir, j’ai appris certaines choses sur le désespoir.
Si vous regardez l’histoire de l’homme paralysé, Jésus lui a demandé : « Veux-tu être guéri ? » Dans sa réponse, vous entendez l’homme commencer à énumérer les raisons pour lesquelles il devrait être désespéré. « Je blâme cette personne... » « Je suis seul... » « Ce n’était pas le résultat que j’attendais... »
Je trouve fascinant que cet homme soit resté près de la piscine alors que le désespoir avait envahi son âme. Le ferme espoir qu’un jour, après 38 ans de maladie, il recevrait la guérison montre que l’espoir peut survivre dans une âme désespérée. Quel espoir survit dans votre âme désespérée ? Est-ce une simple prière, une amie, un rêve, la pensée d’un avenir différent ? Écrivez-le.
Si vous ne pouvez rien écrire, ce n’est pas grave. Je vous mets au défi de faire la chose suivante, que j’ai apprise du désespoir.
Quelques mois plus tard, j’ai regardé ma mère rencontrer Jésus face à face. Je suis la première à admettre que ce n’était pas l’issue que j’espérais. Je me souviens de m’être rapprochée de Jésus durant cette saison de ma vie, et (même si cela semble fou) j’ai commencé à avoir un espoir irrépressible tout en ressentant une tristesse insoutenable : l’espoir de revoir un jour ma maman, l’espoir d’un avenir meilleur dans mes rêves nocturnes, et diverses autres choses...
Je pense que cette histoire que vous avez lue dans Jean 5 est plus qu’un simple aboutissement heureux. C’est Jésus qui redonne l’espoir.
Membre du staff de RRC
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Dieu vous a-t-il déjà parlé par les Écritures ? Souvenez-vous de ce moment. Qu’a-t-il dit ? Comment cela a-t-il changé la trajectoire de votre vie ?
Quels sont votre moment et votre endroit préférés pour lire la Bible ? Comment pouvez-vous inclure la lecture de la Bible à votre routine quotidienne ?
Mon histoire et celle de cet homme paralysé vous ont-elles encouragé à continuer ? Continuez à lire la Parole de Dieu. Continuez à prier. Soyez vulnérable avec vos amies qui ont votre confiance. Cela peut se faire instantanément ou nécessiter quelques mois, regardez Jésus vous inviter à retrouver l’espoir.
...car ta bonté vaut mieux que la vie. Mes lèvres célèbrent tes louanges. Ainsi je te bénirai toute ma vie, je lèverai mes mains en faisant appel à toi.
Quand j’étais petite, tous les dimanches, je courais entre les bancs de notre vieille église pentecôtiste pendant que mes parents passaient des heures et des heures dans la louange, l’enseignement et la prière. Ces longs cultes de louange duraient de deux à (ce qui semblait être) cinq heures. Nous faisions souvent une pause au milieu pour partager un repas et enchaînions ensuite pour la réunion du soir avec encore plus de prière et de louange. Mes douze frères et sœurs et moi inventions des jeux pour nous amuser ou passions le temps en jouant à cache-cache dans les recoins poussiéreux du bâtiment. Mais le plus souvent, je restais dans le sanctuaire pour dessiner. Quelque chose dans l’union de ces voix qui s’élevaient au-dessus du bruit de la batterie et des guitares électriques pour déclarer qui est Jésus me fascinait et me touchait.
Non seulement j’étais attirée par la musique elle-même, mais cette atmosphère de foi résonnait en moi. J’aimais imaginer le meilleur pour notre monde ; la guérison, la restauration et même l’espoir. Ma famille n’avait pas grand-chose et, à l’époque, j’étais bien consciente que la plupart des gens nous considéreraient comme assez pauvres, mais dans mes souvenirs lointains de cette vieille église, je me sentais riche. Je me sentais vivante. Je me sentais proche de Jésus. Et je crois que ce sont ces premiers moments de rencontre avec lui qui m’ont gardée durant les années qui ont suivi.
Comme tous ceux qui ont grandi (littéralement) dans l’église, ma foi a été mise à l’épreuve à de nombreuses reprises au cours de mon adolescence et je me suis finalement approprié cette foi durant mes dernières années de lycée. À cette époque, ma famille ne fréquentait plus l’église et la majorité parmi eux s’était égarée, mais j’étais déterminée à trouver un endroit où je pourrais à nouveau faire l’expérience de Dieu. Bien souvent, seule dans ma chambre, je me mettais à chanter de tout mon cœur en écoutant un vieux CD de Hillsong Worship (Darlene Zschech, vous connaissez ?!). C’est dans ces moments que Dieu me murmurait à l’oreille ses plans pour mon avenir et qu’il façonnait mon cœur en celui d’une véritable adoratrice. Et dans ma modeste petite chambre, j’ai appris à aimer la présence de Dieu.
Nous sommes toutes appelés à vivre en parfaite communion avec le Dieu vivant. Que nous le réalisions ou non, nous désirons toutes ardemment sa présence dans notre vie. Si Dieu est vivant dans le sanctuaire, il est aussi vivant dans nos cœurs, nos maisons, nos voitures, nos chambres, les montagnes, et même chez Carrefour et Colruyt. Il est particulièrement vivant chez Chick-Fil-A (je plaisante... mais maintenant j’ai faim). C’est très simple – Jésus veut être près de nous, alors il nous rencontre là où nous sommes. Notre louange est l’expression de notre affection et quand nous le louons, il tourne nos regards vers l’espoir que lui seul peut donner. Dans la présence de Dieu, nous trouvons l’aide, la force, l’espérance, la défense, la satisfaction dans la vie, et le souvenir de ce qu’il a fait qui, en définitive, fixe nos regards sur l’éternité.
Plus nous passons du temps avec Jésus, plus nous voulons passer du temps avec Jésus. Tout comme mon jeune cœur était épris de sa présence dans cette vieille église, mon cœur est d’autant plus amoureux de sa présence aujourd’hui. C’est dans l’adoration que je trouve tout ce dont j’ai besoin. Ce n’est pas un discours religieux, c’est un discours réel. Si vous êtes blessée, fatiguée, seule, craintive, perdue, déprimée, anxieuse, si vous avez le cœur brisé ou êtes dans le besoin, etc., Jésus est celui qu’il vous faut. Rien ne se compare à sa présence. Cherchez-le et vous le trouverez si vous le cherchez de tout votre cœur. (Jérémie 29:13)
Directrice de la louange pour RRC
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Notre nouvelle petite fille, mon fils et ses entraînements de football, pouvoir voyager à nouveau ces derniers temps, les produits de beauté, les cafés glacés toute l’année, le jeûne intermittent, acheter trop de décorations chez Carrefour, être seule au volant de la voiture et manger trop souvent chez McDonalds.
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Parks & Rec. Encore une fois. C’est si bon. Mais je regarde aussi beaucoup Curious George avec mon fils de 4 ans :)
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La Bible. Mais je me suis aussi souvenue ces derniers temps d’un vieux livre que j’aime : A Tale of Three Kings. Je lis également des blogues sur la maison/les voyages/la mode.
J’écoute
Taylor Swift comme toujours, mais j’aime aussi le nouvel album de Hillsong Young & Free ! Indescribable, As I Am et Uncomplicated sont mes chansons préférées.
Où pouvez-vous dresser un sanctuaire dans votre vie quotidienne et laisser la présence de Dieu pénétrer votre cœur d’une nouvelle façon ?
Désirez-vous ardemment la présence de Dieu ? Si ce n’est pas le cas, pourquoi ?
Prenez de courts (ou longs) moments dans la journée/semaine dans la présence de Dieu. Mettez une musique de louange dans la voiture et laissez-la vous envahir, ou chantez de tout votre cœur jusqu’à ce que vous croyiez profondément aux paroles que vous chantez. Allez dans votre chambre et gardez le silence devant lui. Allez chez au magasin et priez/louez en achetant tous leurs articles de décoration. Où que vous soyez et quoi que vous fassiez, cherchez sa présence, car il est déjà avec vous et il veut vous parler... chaque endroit peut être un sanctuaire.
Lisez tout le chapitre de Psaumes 63.
Faites de Psaumes 63:2 votre prière quotidienne. « Ô Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche ; mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau. »
Veillons les uns sur les autres pour nous inciter à l’amour et à de belles œuvres. N’abandonnons pas notre assemblée, comme certains en ont l’habitude, mais encourageons-nous mutuellement. Faites cela d’autant plus que vous voyez s’approcher le jour.
Selon moi, la communauté est l’une des choses les plus précieuses que Dieu nous donne en tant que croyantes. Avoir le peuple de Dieu dans votre vie, marchant à vos côtés, est un élément crucial pour vivre « la vie abondante » dont Jésus parle. Parfois, cela se fait de manière naturelle, et d’autres fois, cela nécessite pas mal de foi et d’efforts de notre part. Pour moi, il a fallu beaucoup d’efforts. J’ai souvent déménagé quand j’étais enfant, et maintenant que je suis adulte, je vis à l’étranger et j’élève ma famille dans une culture qui n’est pas la mienne. Vivre à l’étranger peut être une aventure formidable, pleine de surprises et de beaux moments de découverte de soi, mais on se sent parfois seule et on a la nostalgie des choses qui nous sont familières. Le meilleur moyen pour moi pour construire ma communauté et celle de notre église n’a pas été une étude biblique géniale, une conférence extraordinaire ou un événement particulier. Bien que toutes ces choses soient importantes et bénéfiques, c’est ma table qui m’a permis d’avoir une grande et profonde communauté.
À ma table, j’ai sillonné le monde. J’ai goûté le thé du Japon et les mets de la Corée du Sud. J’ai découvert les rituels de la Tunisie et l’éducation à Rome. J’ai découvert mes points communs avec une femme musulmane de Turquie. La nature éclectique de cette table ne divise pas, elle la rend passionnante et intéressante. Malgré les différences de langue, de religion ou de nationalité, on y trouve un sentiment d’appartenance. Le sentiment que nous survivons et nous épanouissons dans une culture qui n’est pas la nôtre, et que nous avons quelque chose à apporter au parcours de l’autre. Le sentiment qu’en tant que femmes, nous avons toutes connu le labeur de la maternité ou parcouru le monde. À cette table et dans nos maisons, nos cœurs et notre monde s’élargissent.
Cela peut se faire sans même sortir de votre pays, mais il vous faudra sortir de votre monde. Je vous mets au défi d’inviter dans votre maison et à votre table des gens qui ne sont pas de votre monde. Des gens qui semblent différents de vous, qui parlent peut-être différemment, et qui ont certainement une foi différente de la vôtre. Il est certes important de tisser des liens avec des personnes qui partagent vos valeurs, mais il est tout aussi important d’exposer et d’élargir votre monde à des personnes qui n’ont pas les mêmes valeurs que vous. Vous ennuyez-vous ? Êtes-vous agitée, ou tout simplement prise dans un tourbillon ? Invitez quelqu’un de différent dans votre monde. Rappelez-vous, vous n’avez pas à parcourir le monde pour sortir de votre zone de confort.
Jésus l’a si bien fait ; il est notre exemple ultime. Même dans son groupe d’amis proches, il y avait un pêcheur et un zélote, un collecteur d’impôts et un entrepreneur. Jésus était reconnu pour s’écarter des normes culturelles ; il s’est assis au puits avec la Samaritaine et a parlé avec elle, il a mangé dans les maisons des collecteurs d’impôts, et il a accueilli les petits enfants. Jésus lui-même a quitté le confort du ciel pour entrer dans notre humanité. En réponse à cela, nous pouvons faire un pas hors du confort de nos maisons, de nos communautés et de nos normes pour entrer dans le monde d’une autre personne et être pour elle une amie, une enseignante, une consolation ou un encouragement.
Membre du staff de RRC Bruxelles
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Qui Dieu vous met-il à cœur d’inviter à votre table ?
Comment Dieu vous appelle-t-il à sortir de votre zone de confort pour le bien de la communauté ?
Identifiez une personne, un couple ou une famille que vous n’avez jamais fréquenté et invitez-la/les à dîner. Sans programme. Sans pression. Il suffit de préparer un bon repas (ou d’en commander un) et de profiter de leur compagnie !
Avouez-vous [donc] vos fautes les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin d’être guéris. La prière du juste agit avec une grande force.
Nous avons un canapé bleu dans notre bureau qui est devenu un canapé très particulier. Il a été témoin de confessions de toutes sortes. C’est un endroit sûr où il n’y a pas de place pour le jugement, mais de la place pour l’amour et pour beaucoup de grâce. Un après-midi de fin février, je m’y suis assise. Je me suis assise en face de mon amie, ma collègue de travail, et j’ai pleuré. J’ai capitulé. J’étais tellement lasse et fatiguée. Ma pensée, mon corps, mon âme et mon esprit de près de 40 ans ne cessaient de dépérir. Je n’étais pas certaine de pouvoir faire un pas de plus. J’ai avoué que je ne savais pas comment j’arriverais à rassembler plus de force. Le mantra : « Je vais bien, tout va bien » circulait dans notre bureau, mais je n’étais pas bien. Je n’allais pas « bien ». En fait, rien ne semblait bien aller ; mon mariage, ma santé physique, ma santé émotionnelle, et que sais-je encore. Quelques jours plus tard, je me suis retrouvée à l’hôpital, sans avoir de réponses. Je n’arrivais plus à marcher ni à utiliser le côté droit de mon corps.
« Vous en faites trop », a déclaré mon neurologue en s’assoyant près de moi. Dans le chaos de ma chambre d’hôpital, je me suis dit en moi-même : Je me rends. Seigneur, je l’admets, JE NE PEUX PLUS CONTINUER. J’ai brandi mon drapeau blanc. Cela doit cesser. Jésus. Jésus. Jésus. J’ai besoin de toi. Je suis désolée d’avoir essayé de porter tout cela depuis si longtemps.
Je ne pouvais pas ouvrir les yeux pour voir ce qui se passait autour de moi. J’avais besoin d’aide pour aller à la salle de bains. Je suis entrée dans un état pseudo comateux, mais mon corps résistait. Mais Dieu. « Calme et paix ». Pendant plus de huit jours. Rien. Seulement le silence. Je n’arrivais pas à marcher. Je pouvais à peine manger. La seule chose que j’entendais était : « Calme et paix ».
« Jésus, je confesse que j’ai besoin de toi. Je suis désolée d’avoir causé cela. »
Personne ne m’a obligée à tout porter. Je l’ai fait de moi-même. Les fonctions qui m’ont été attribuées et celles que j’ai prises, je les ai toutes portées. Et cela me détruisait à petit feu, tout doucement.
J’ignore ce que vous vivez. En tant que femme, nous avons déjà la pression d’être « OK » et de déclarer que « tout va bien », mais puis-je vous dire que ce n’était pas censé être ainsi. Nous n’étions pas censées TOUT porter. Nous n’étions pas censées porter le poids de la négligence, de l’abus, de l’addiction, du chagrin ou de la perfection pour quoi que ce soit. C’est à cause de la dépravation de l’âme humaine ; du péché.
Jésus a versé son sang sur la croix et il est le meilleur. C’est lui qui porte la gloire de tout cela. Il porte tout. Il est mort. Il a souffert afin que nous n’ayons pas à souffrir. Alors, reposons-nous et laissons-LE tout porter.
C’est une confession quotidienne. Un abandon quotidien. Je crois que lorsque nous faisons cela, tout se met en place par la grâce.
La meilleure chose à faire, c’est de confesser ; confesser à Dieu que nous avons désespérément besoin de lui pour tout balayer, pour être près de nous comme il l’a promis et être un havre de Shalom (paix entière).
Lorsque nous creusons en profondeur et que nos désirs font surface, nous avons la liberté de venir à lui, d’aller vers son peuple et de confesser que NOUS N’ALLONS PAS BIEN. Nous avons besoin les unes des autres. La « culture chrétienne » communique que tout va bien et que nous avons la situation en main, mais bien au contraire, c’est Jésus qui a la situation en main et, pour notre part, il nous suffit d’être. Être ici. Être présente. Être présente pour soi-même et pour les autres, croire que Dieu est celui qui contrôle toutes choses et qui gère la situation.
Il y a une puissance dans la confession. Je découvre que la confession est un acte d’abandon. Un abandon quotidien.
Il est et nous ne sommes pas. Et pour cela, « Je vais bien, tout va bien ».
Membre du staff de RRC
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Toutes les activités de plein air... la randonnée, les longues promenades, le football de mon fils au lycée et le skate-parc
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La série Alaska the Great Frontier
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Dream Big de Bob Goff
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Avez-vous du mal à vous ouvrir et à faire une place aux autres dans votre vie ? Si oui, pourquoi ?
Y a-t-il une chose que vous n’avez jamais confessée à une autre personne ? Si oui, laquelle ? S’il y a une personne dans votre vie en qui vous avez confiance, envisagez de lui parler (dans certains cas, il peut être préférable de parler à un conseiller ou un thérapeute).
Si vous avez besoin d’une confidente par rapport à une addiction, la réalisation d’un rêve ou la poursuite de la relation avec votre conjoint, identifiez une personne dans votre vie qui serait un bon partenaire qui pourrait vous suivre. Appelez-la aujourd’hui et voyez si elle est disposée à jouer ce rôle pour vous.
Soyez bons et pleins de compassion les uns envers les autres ; pardonnez-vous réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ.
Quand j’avais 18 ans, mes parents nous ont annoncé qu’ils allaient divorcer. Quand vous venez d’une famille apparemment parfaite, avec des parents qui, vous en êtes convaincu, ne divorceront jamais et dont le mariage semble parfait, cela chamboule complètement votre vie. De mes frères et sœurs, c’est moi qui ai le plus difficilement accepté la dissolution du mariage de mes parents. Ma famille était ce qui comptait le plus pour moi et j’ai bien souvent pensé que je ne guérirais jamais, que je ne passerais jamais à autre chose, et que je ne pardonnerais jamais à mes parents toute la souffrance et tout le chagrin que j’ai éprouvés au cours des dix années qui ont suivi. Oui, c’est exact, dix ans.
J’étais une adolescente têtue, mais j’ai continué à avoir du ressentiment et de la colère jusque dans la vingtaine. Ce n’est que lorsque cela a commencé à affecter ma santé mentale, et bientôt mon tout nouveau mariage, que j’ai su qu’il me fallait gérer ces blessures profondes. À peine quelques mois après mon mariage, les premiers signes d’une grave dépression se sont manifestés. Ce que je vivais à cette époque était encore pire, car cela affectait également mon mari. J’ai finalement été forcée d’admettre que le ressentiment que j’avais envers mes parents ressemblait peut-être plus à de la haine que je le pensais. La dépression dont je souffrais était un reflet extérieur de ce qui se passait au-dedans de moi. Je refusais d’accorder le pardon et je réalisais que si je ne leur pardonnais pas et ne trouvais pas la guérison, il n’y avait aucune chance que notre relation soit restaurée. Je les haïrais pour le reste de ma vie. En fin de compte, je savais que mes parents étaient tout aussi imparfaits et humains que moi.
Le pardon est l’art de la plénitude. Jésus a souvent parlé du pardon, et ce n’est pas sans raison qu’il a dit à Pierre qu’il faut pardonner soixante-dix-sept fois. Il ne faut peut-être pas le prendre au sens littéral, mais il a dit cela pour démontrer que notre pardon doit être sans fin. J’ai mis beaucoup de temps à guérir. Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain. Il a fallu un travail acharné, du counseling, de la prière et permettre à Dieu de mettre en lumière beaucoup de zones sombres de mon cœur. Mais depuis le jour où j’ai pardonné à mes parents, je n’ai plus souffert de dépression. Pas une seule fois.
Le pardon vous rend une partie de vous-même. De par mon expérience, je crois que rien ne nuit plus à votre santé mentale, émotionnelle et spirituelle que le manque de pardon. Un jour, j’ai entendu dire que « le ressentiment est corrosif ». La corrosion me rongeait littéralement de l’intérieur à cause de mon incapacité, et soyons honnêtes, de mon refus de cesser de blâmer mes parents. Et finalement, en pardonnant à mes parents, non seulement je me suis libérée d’un joug, mais je les ai libérés eux aussi.
Membre du staff de RRC Austin
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À qui avez-vous besoin de pardonner ? Comment pouvez-vous non seulement pardonner, mais commencer à souhaiter le meilleur à cette personne ?
À qui avez-vous besoin de présenter des excuses ? Envisagez de contacter cette personne pour lui dire que vous êtes désolée.
Écrivez une lettre de pardon à quelqu’un qui vous a blessée dans le passé. S’il n’est pas possible de la lui envoyer ou si cela ne ferait qu’empirer les choses, ne l’envoyez pas. Le simple fait de l’écrire est thérapeutique !
Comme de bons intendants des diverses grâces de Dieu, mettez chacun au service des autres le don que vous avez reçu. Si quelqu’un parle, qu’il annonce les paroles révélées de Dieu ; si quelqu’un accomplit un service, qu’il le fasse avec la force que Dieu communique, afin qu’en tout Dieu reçoive la gloire qui lui est due à travers Jésus-Christ. C’est à lui qu’appartiennent la gloire et la puissance, aux siècles des siècles. Amen !
Mon mari, James, avait trois emplois à temps plein, ce qui me permettait de rester à la maison avec nos trois beaux enfants qui, à l’époque, avaient seulement 3 ans, 2 ans et 4 semaines. Je sais, c’est FOU ! Je n’avais pas le temps de remarquer mes vertiges, la perte de ma vision périphérique gauche et mes maux de tête. Soyons honnêtes, « la vie de maman » est un cadeau incroyable, mais le temps que nous avons pour penser à nous est une rareté.
J’ai parlé de certains de ces symptômes à mon médecin, et juste pour « voir ce qui se passait », il m’a fait passer une IRM du cerveau. Moins de deux heures plus tard, nos vies ont changé, encore une fois. On m’a dit que j’avais une tumeur au cerveau et qu’elle allait me rendre aveugle, et qu’il fallait la retirer rapidement.
QUOI ? Mais Seigneur, je pensais que le but cette « saison » était de prendre soin de mon mari et de mes trois enfants. Comment pourrais-je atteindre ce but si je ne peux même pas m’occuper de ma propre famille ? J’avais mal. J’étais confuse à propos de ce que Dieu faisait et de ce à quoi il m’appelait.
Deux semaines plus tard, j’ai embrassé mes enfants de 3 et 2 ans et mon bébé de 5 semaines avant d’aller subir une chirurgie de 9 heures au cerveau. J’ai signé les papiers de non-réanimation, sachant que Dieu est fidèle des deux côtés du ciel.
Mon appel et mon but étaient flous. Tout ce que je pensais, ce pour quoi je priais et ce que j’imaginais m’avait été enlevé – comme si cela m’avait jamais appartenu en premier lieu. Notre Père fidèle m’a aidée à traverser cette période, et durant celle-ci, nous avons été extrêmement aimés et merveilleusement soutenus par la famille, les amis, l’église Red Rocks et même par des inconnus. Des gens venaient et soulevaient pour moi mon petit garçon de 5 semaines afin que je puisse l’allaiter. Ils m’ont apporté des repas, ont nettoyé notre maison, fait la lessive et fait d’innombrables sorties avec nos deux plus grands.
Vous voyez, notre but n’est pas toujours ce que nous pensons. À ce moment de notre vie, ce fut pour nous une leçon d’humilité que d’être aimés par le peuple de Dieu de ,a manière dont il l’utilisait. Cela nous change. Nous devenons davantage comme lui quand on nous enlève ce que nous pensions que la vie était censée être. Mais prenez courage. Ses plans sont plus grands. Son but est plus complet.
Sept ans plus tard, Shayn est maintenant au lycée, Kingston et Jett s’épanouissent à l’école primaire et je savoure chaque instant. Ma tumeur au cerveau continue de grossir, et bien que les gens ne soient pas en mesure de « voir » la profondeur de mon épreuve, je sais que nous en avons toutes. Nous les vivons toutes différemment. La question n’est pas de savoir : « Comment Dieu va nous les faire traverser ? », mais plutôt : « Allons-nous lui permettre de le faire ? »
Comme le dit 1 Pierre 4, chacun de nous doit mettre au service des autres et du Seigneur le don qu’il a reçu – cela peut se faire différemment selon les saisons de notre vie. Pour ma part, je n’ai jamais considéré le fait de vivre avec une tumeur au cerveau comme un cadeau, mais je crois que Dieu ne gaspille rien et qu’il nous utilise tous et toutes. Il nous utilise dans notre souffrance et dans notre désarroi. Il utilise les choses que nous ne contrôlons pas pour nous faire connaître son cœur, pour sa gloire et pour notre bien.
Je ne sais pas où vous en êtes, ni ce que vous vivez actuellement, mais je me demande si vous traversez une saison inattendue. Est-ce une saison marquée par l’anxiété ou la dépression ? Ou une déception ? Peut-être est-ce le deuil de ce que vous aviez prévu ou espéré pour votre vie ? Mon défi pour vous, pour moi, pour nous toutes, est que nous décroisions les bras ; que nous ouvrions nos mains et permettions à Dieu, en nous abandonnant à lui, de nous utiliser dans ce que nous vivons. Vous êtes peut-être une mère arrivant à peine à finir ses journées tant elle est épuisée. Vous travaillez peut-être de la maison en ce moment ou avez peut-être perdu votre emploi. Votre conjoint a peut-être perdu son emploi. Peut-être devez-vous faire l’école maison et ce n’est pas une vocation naturelle pour vous. Quoi qu’il en soit, mesdames, ouvrez vos bras, votre cœur, vos mains et recevez. Recevez le don de votre « présent » et Dieu l’utilisera. Il est dans le chaos, la douleur, la déception, les rêves et les espoirs, la tristesse, l’anxiété et la dépression. La maladie. La joie. Il est dans tout. Alors, réjouissons-nous et aidons-nous les unes les autres durant cette saison. Regardons autour de nous – épaulons une voisine, une amie, une inconnue – et permettons à Dieu de nous utiliser en servant généreusement, quel que soit ce que nous vivons. Le bon. Le difficile. Le mauvais. Il prend tout.
A part of the Red Rocks Church family and a small business owner
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Avez-vous déjà traversé une période difficile (ou en traversez-vous une en ce moment) ? Que sentez-vous que Dieu essayait/essaie de vous enseigner par cela ?
Comment pensez-vous que Dieu va utiliser votre histoire pour encourager quelqu’un d’autre ? Pouvez-vous aider une personne qui vit actuellement quelque chose que vous pouvez comprendre ?
Faites une évaluation en ligne gratuite de vos dons spirituels. Invitez une autre personne à faire elle aussi cette évaluation. Puis, rencontrez-vous, partagez vos résultats, et encouragez-vous mutuellement !
Ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras.
Quand mes fils étaient jeunes, c’était facile de leur donner des occasions de connaître l’amour de Jésus. Pour dire la vérité, mon influence sur eux était la plus forte de leur monde d’alors, car les petits garçons adorent leur maman ! Pendant les trajets en voiture, on écoutait les CD de Baby Praise. Pendant la pause, on se blottissait les uns contre les autres pour regarder les Veggies Tales. Avant le coucher, on lisait la Bible pour enfants et priait ensemble. Je n’essuyais jamais de refus ! C’était merveilleux !
Ajoutons 10 ans en avance rapide, et mes gentils petits garçons sont maintenant des préadolescent et adolescent pubères aux idées bien arrêtées. Leur fournir des occasions de connaître l’amour de Jésus est une tout autre affaire. Ils sont sollicités par tant d’influences extérieures – les amis, les films, les médias sociaux – qui cherchent à capter leur attention. Ils ne veulent plus écouter leur mère ! Alors comment suis-je supposée avoir une influence chrétienne sur mes enfants ? Heureusement, la Parole de Dieu nous montre comment faire.
Voyez-vous, Dieu dit dans sa Parole en Deutéronome 6:6-7 que ses commandements doivent être « dans ton cœur ». C’est-à-dire tissés dans la fibre même de notre être. Il nous dit : « Tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage. » L’amour de Dieu devrait être évident pour tous ceux qui me côtoient, y compris les miens. Est-ce que je reflète l’image de Jésus auprès de ma famille ? Est-ce que je parle de sa fidélité pour moi au fil des ans ? Est-ce que je présente des excuses pour avoir répondu sèchement aux questions incessantes de mon fils quand je suis contrariée ? Est-ce que je fais preuve de patience quand l’un de mes garçons me manque de respect ? Purée, combien c’est dur, surtout avec des adolescents !
Donc le défi que j’ai à relever en tant que parent est de vouloir délibérément influencer mes enfants jour après jour, quelle que soit l’étape de la vie où ils se trouvent, afin d’imprimer en eux l’amour de Jésus ! Ces jours-ci, cela prend la forme de la pratique de la plongée avec mon fils de 15 ans en lui demandant où en est son cheminement avec Dieu. Cela prend la forme de prier pour mon fils collégien avant de le déposer à l’école. Cela prend la forme de bien accomplir mes tâches auprès de ma famille, même quand je suis fatiguée. Cela prend la forme de faire de l’église une priorité et de servir avec joie ! Cela prend la forme de lire ma Bible au lieu de naviguer sur mon téléphone quand je suis dans le salon familial.
Jésus, aide-moi à avoir de l’influence sur mes fils afin de leur montrer ton merveilleux amour ! Suivant l’âge de vos enfants, demandez à Dieu de vous inspirer des idées créatives visant à leur démontrer l’amour de Dieu pour eux !
Membre du staff de RRC
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SEU Worship
Là où vous en êtes de votre vie, diriez-vous qu’il est facile ou difficile d’aimer ceux qui vous sont les plus proches ?
De quelle manière tangible pourriez-vous montrer l’amour de Jésus à vos enfants à cette étape de leur vie ?
Appelez une personne de votre famille pour savoir comment elle va. Posez-lui des tas de questions et faites de votre mieux pour la laisser parler d’elle-même tout le temps. Si vous avez des enfants à vous, ou d’autres dont vous vous occupez, pensez à l’étape de leur vie qu’ils traversent, et demandez à Dieu de vous donner des idées créatives visant à leur démontrer l’amour que Jésus a pour eux !
Il n'y a pas de plus grand amour que de donner votre vie pour vos amis.
Aussi longtemps que je m’en souvienne, j’ai toujours RAFFOLÉ de passer du temps avec des amies ! Les « soirées entre filles » sont mes préférées. Se mettre sur son trente-et-un pour aller dans un bon restaurant ou sortir ensemble en jogging pour manger, bavarder, rire pendant des heures au sujet de rien. C’est si agréable !
C’est quand j’ai rejoint l’université dans une petite faculté chrétienne que j’ai commencé à comprendre le sens de la véritable amitié. Nous avions en commun notre amour pour Jésus et c’était lui notre fondement. En tant que femmes de foi, il est très important de nous entourer d’amitiés centrées sur Christ – d’amies qui vont prier avec nous, nous aimer, et désirer pour nous le meilleur. Les amies ne jugent pas, elles sont loyales, bienveillantes, et sincères. Les amies ne veulent pour nous que le meilleur qui vient de Dieu et nous encouragent à y aspirer. Proverbes 27:9 (BFC 1982) affirme que « la douceur de l’amitié donne plus de joie que la satisfaction de soi ». La joie fortifie et rafraîchit l’âme. C’est ainsi que nous devrions nous sentir quand nous sommes avec nos sœurs en Christ : fortifiées et rafraîchies !
L’année passée a été la plus difficile de toute ma vie. En 2019, on a diagnostiqué chez mon mari, Scott, une tumeur au cerveau qu’il fallait extraire. Il a subi la radiothérapie, passe en ce moment par la chimiothérapie, et la route devant lui semble encore bien longue. Au beau milieu de nos trajets quotidiens à l’hôpital pour les radiations de Scott, je me suis fait mal au genou et j’ai dû être opérée. Une semaine plus tard, mon fils est tombé de vélo et s’est aussi retrouvé sur la table d’opération. Nous étions dans le pétrin !
J’ai toujours été une personne forte et stable, quelqu’un qui peut supporter beaucoup. J’étais quelqu’un qui n’avait pas besoin d’aide ; je pensais pouvoir jongler avec tout ce que je rencontrais. Mais l’année passée j’étais DÉPRIMÉE, me demandant où était Dieu dans tout cela. Il a utilisé ma famille et mes plus proches amies chrétiennes pour m’aider à traverser une période vraiment sombre. Ce sont elles qui m’ont appelée et m’ont envoyé des messages chaque semaine, m’ont encouragée et édifiée, m’ont dit que j’étais capable de faire face à ces choses très dures. Ces amies m’ont envoyé des lectures bibliques quotidiennes, ont fait des puzzles avec moi dans les salles d’attente de l’hôpital, m’ont envoyé des fleurs, m’ont apporté mes snacks favoris, des cartes et des photos amusantes qui me faisaient rire. Mon tout nouveau Life Group déposait aussi des repas et des douceurs pour mon fils. Nous nous sentions portés et entourés de tant d’amour !
Dans le livre de Job, au chapitre 2, il est raconté comment les trois amis de Job ont entendu parler de ses ennuis et sont venus pleurer avec lui. Ils n’ont pas dit un mot ; ils se sont juste assis à côté de lui. Je ressens beaucoup d’émotion en évoquant cela, car je l’ai vécu dans ma propre vie. Des amies qui m’aiment, qui ne savent pas vraiment quoi dire en voyant notre famille traverser cette période pénible, mais viennent « s’asseoir » avec moi. Cela me rafraîchit et elles me transmettent une force renouvelée.
La vie est dure, mesdames, nous avons besoin les unes des autres. Nous avons été créées pour être en communion avec d’autres ; nous n’avons pas été créées pour affronter la vie seules. De simples paroles d’encouragement peuvent être TELLEMENT porteuses de vie ! Je vous mets au défi de tisser des amitiés dont Christ est le centre et qui ajoutent à la fois à la qualité de votre vie et à celle de votre relation avec Dieu. Je vous mets aussi au défi d’être vous-même ce genre d’amie pour les autres.
Membre du staff de RRC et épouse du directeur de RRC
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Qui sont vos trois plus proches amies ? Citez une chose que chacune d’elles apporte et qui contribue à votre cheminement avec Dieu.
Y a-t-il dans votre vie une ou des amies pour lesquelles vous donneriez votre vie ?
Appelez ou envoyez un SMS aux trois amies que vous considérez comme les plus proches. Rappelez-leur combien vous avez de gratitude envers elles !
Voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là.
Nous avons acheté notre première maison il y a deux ans et pendant la majorité de ce temps-là, je ne connaissais pas beaucoup de voisins. Jusqu’à ce que le Covid nous frappe. Je suis extravertie à l’extrême, et pendant le confinement, j’arrivais à pratiquement garder mes voisins en otage pour bavarder dehors tellement j’étais affamée d’échanges humains !
Pendant cette saison j’ai commencé à établir des relations avec les gens qui vivaient le plus près de chez moi. Plus je les laissais parler, plus j’apprenais à les connaître. Au début, il s’agissait juste des noms et d’interactions du genre : « Au fait, rappelez-moi ce que vous faites dans la vie ? » Mais plus nous parlions, plus je me suis mise à savoir qui ils étaient, à quoi ils rêvaient, et comment ils vivaient leur vie de famille ; pratiquement tout sur eux. Et cela simplement parce que j’étais disponible. Les gens ont commencé à beaucoup s’ouvrir. J’ai senti que le Seigneur me lançait un défi dans ce domaine : rester plus longtemps, écouter mieux, les encourager, prier pour eux ! Ne pas se précipiter trop vite à la maison, leur donner de l’espace.
D’abord, je me sentais coupable qu’il ait fallu une pandémie mondiale pour que moi, disciple de Jésus et employée par une église, je prenne du temps et fasse de la place pour mes voisins. N’est-ce pas la priorité du christianisme ? Aime Dieu, aime ton prochain. Puis, je me suis souvenue que Dieu construit de merveilleuses choses à partir de ruines. Au cœur de ce monde en folie, Dieu avait rebranché mon cœur et mes pensées sur « ce qui compte » : Aimer Dieu, aimer son prochain. Je ne suis pas parfaite, mais il m’enseigne et chemine avec moi vers cet objectif.
Je veux vous mettre au défi d’apprendre à connaître vos voisins ; mais les connaître vraiment ! Peut-être qu’un rapide signe de la main en entrant frénétiquement dans la voiture pour se précipiter vers votre prochaine activité n’est pas ce à quoi Jésus songeait quand il nous a promis une vie abondante. Et si la vie authentique était pour nous, disciples de Jésus, de façonner notre vie de façon à faire partager à nos voisins l’aventure de Dieu. Notre porche d’entrée, notre jardin et notre parking peuvent devenir nos lieux de rencontre avec les gens. Là où on leur montre de l’amour, écoute leur histoire, et s’intéresse à eux. Avec qui pouvez-vous faire connaissance dans votre quartier cette semaine et comment pouvez-vous les encourager ?
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Qu’est-ce qu’aimer votre prochain signifie pour vous ?
De quelle façon pratique pouvez-vous montrer de l’amour à votre prochain aujourd’hui ?
Faites aujourd’hui quelque chose de gentil pour une personne de votre quartier. Cuisinez-lui des biscuits, proposez de tondre sa pelouse, de déblayer son allée, ou offrez-lui une carte-cadeau pour une soirée en amoureux pour elle et son époux.
Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? Il ne sert plus qu'à être jeté dehors et piétiné par les hommes. Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut pas être cachée, et on n'allume pas non plus une lampe pour la mettre sous un seau, mais on la met sur son support et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.
Durant toutes mes années de lycée, je ne savais pas qui j’étais. Je ne savais pas qui devenir. J’avais recours à différents miroirs pour découvrir ce que j’étais au-dedans de moi : la popularité, les sports, les soirées, le maquillage, les relations, et ainsi de suite. Mais quand Jésus m’a conquise, j’ai découvert qui j’étais. Je me suis découverte parce que j’ai découvert Jésus. Maintenant, à 20 ans, je suis très à l’aise avec ma personnalité, et je commence à croire aux compliments que je reçois. Je comprends enfin que je suis une créature merveilleuse. Tout cela vient de ce que j’ai appris à ressembler à Jésus et à passer du temps avec lui.
Dans tous ses enseignements, Jésus nous transmet l’ADN parfait du comment vivre, aimer, penser, et agir. Mais il fait de certaines choses une priorité sur les autres : aimer Dieu et aimer les autres.
Nous pouvons ressembler à Jésus en aimant Dieu comme il faut. Cela ne veut pas dire que notre amour doit être parfait, mais que nous devons nous aimer nous-mêmes, lui obéir, le servir, et l’avoir pour seul roi de notre cœur.
Nous pouvons aussi ressembler à Jésus en aimant les autres. Cela veut dire bénir ceux qui nous persécutent, ne pas garder de rancune, ne pas être prompte à juger, être plus prête à écouter qu’à parler, honorer les gens plus que nous-mêmes, pleurer avec ceux qui pleurent, et saupoudrer un peu du Royaume partout où nous allons.
Rien de tout cela n’est possible à moins que votre identité soit établie, enracinée en Jésus et fondée sur lui. Demandez à Dieu de sonder votre cœur et de voir si vous avez des idoles que vous placez au-dessus de lui. Commencez à vous poser des questions, et à vous demander si ce que vous faites vous rend plus semblables à Jésus ou plus proches du monde. Soyez proche de Jésus, demeurez avec lui, contemplez sa beauté.
Psaumes 27 m’incite à être avec Jésus, particulièrement ce verset : « Je demande à l’Éternel une chose, que je désire ardemment : je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Éternel, pour contempler la magnificence de l’Éternel et pour admirer son temple. » (Psaumes 27:4, NEG 1979)
Si les chrétiens sont l’espoir du monde, si nous sommes leur seule chance de voir un reflet de Jésus, le but de notre vie devrait être de ressembler à Christ autant que possible afin de faire arriver le Royaume des cieux sur la terre. Les gens peuvent voir Jésus au travers d’une histoire ou d’un passage de l’Évangile, mais ils le perçoivent plus clairement quand ils nous regardent vivre. Je veux que des gens rencontrent Jésus dans leur vie aujourd’hui à cause de ma manière de vivre. Je veux que ma façon de leur parler soit pour eux la preuve vivante que le Dieu vivant habite en moi.
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Des matinées avec un café et Jésus sous la véranda.
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Quelle est la collègue ou la camarade de classe avec qui vous avez une relation difficile ? Comment pourriez-vous aujourd’hui faire un pas pour améliorer vos rapports ?
Que disent vos collègues ou camarades de classe à votre sujet ? Vous décriraient-elles comme une personne aimante et pleine de compassion ? Si ce n’est pas le cas, comment pourriez-vous commencer à les faire changer d’opinion ?
Écrivez un message à l’une de vos collègues ou camarades de classe. Dans ce mot, encouragez-la et faites ressortir tout ce qui est positif dans les qualités que vous voyez en elle !
Le roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites.
À l’automne 2017, Dieu a commencé à susciter quelque chose dans mon cœur. Je devenais de plus en plus consciente du nombre d’enfants sans foyer et sans famille fixe dans notre État. Chaque fois que je regardais des vidéos de jeunes dans le circuit des familles d’accueil, je pleurais sur chaque enfant en imaginant son histoire. Après plusieurs mois et un désir d’engagement qui s’intensifiait, mon mari et moi sommes allés à une soirée d’information sur l’accueil en famille et l’adoption. Deux minutes après le début de la rencontre, je pleurais déjà, certaine que c’était là que Dieu voulait nous utiliser.
Mais pourquoi allais-je me mettre dans des situations difficiles où je m’attacherais « trop » à des enfants tout en sachant qu’ils risquaient de quitter mon foyer ? Pourquoi encouragerais-je leurs parents biologiques quand je savais qu’ils ont fait des choses horribles qui ont conduit à ce que les enfants leur soient retirés ? Ma réponse est simple : Dieu. Le caractère de Dieu est ce qui m’a décidée à m’engager dans des situations dures et compliquées. C’est lui la raison pour laquelle je dois choisir une vie de sacrifice au lieu de mon confort, parce que c’est exactement ce que Jésus a fait. C’est notre travail d’être son reflet aux yeux de ce monde.
Mesdames, Dieu dit que nous sommes faites à son image (Genèse 1:26, NEG 1979), et toute l’histoire de la Bible révèle le caractère de Dieu. Voici les raisons pour lesquelles nous lisons la Parole de Dieu :
Alors quel est le caractère de Dieu ? En Exode 34:6, Dieu se révèle à Moïse comme étant plein de compassion et de grâce, lent à se mettre en colère, et riche en amour et en fidélité. Deutéronome 10:18 présente Dieu comme celui qui « rend justice à l’orphelin et à la veuve et témoigne son amour à l’étranger en lui assurant le pain et le vêtement ». Ce sont juste quelques aspects touchant qui est Dieu. En considérant ce que nous venons d’apprendre de lui, en quoi sommes-nous le reflet de sa personne ?
En Matthieu 25:40, Jésus dit : « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. » Aux versets 35 et 36, Jésus cite des exemples de « ces plus petits de mes frères ». En résumé, il dit de courir vers les démunis. Il nous invite à nous impliquer dans des situations difficiles et à accorder de la valeur à ceux que la plupart ignoreraient. C’est comme cela que l’on est pour le monde le reflet de Dieu.
Pour mon mari et moi, être famille d’accueil est une manière de refléter le caractère de Dieu. Quand un enfant entre dans notre foyer, nous essayons de le voir comme Dieu le voit. Et il nous faut penser à ses parents comme Dieu le ferait. Quand un jeune hurle, donne des coups de pied, et ne fait pas ce qu’on lui demande, nous l’attirons vers nous et lui rappelons qu’il est aimé. Nous parlons avec des voix douces et montrons de l’empathie envers ce qu’il ressent. Nous répondons à ses besoins. Nous sommes pleins de grâce et lents à nous mettre en colère. Je saisis l’occasion de lui exposer la manière dont Dieu m’a toujours tendrement aimée.
Mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle j’ai choisi d’être famille d’accueil. L’autre raison est simplement que cela me semble évident. Toute ma carrière professionnelle a tourné autour des enfants. Depuis que j’ai enseigné des élèves de primaire, puis exercé un ministère auprès des adolescents, je n’ai jamais été plus heureuse que quand j’étais impliquée dans la vie des jeunes. Alors quand je pense à refléter le caractère de Dieu et à la façon dont Dieu m’a équipée, je sais que je suis appelée à m’occuper d’enfants venant de situations défavorisées.
C’est la voie dans laquelle je suis appelée pour aller à la rencontre des faibles et des opprimés et prendre soin de « ces plus petits ». C’est dans ce domaine que je suis appelée à refléter l’image de Dieu. Mes amies, en quoi êtes-vous appelées à refléter l’image de Dieu par amour pour « ces plus petits » ? Il peut s’agir de servir les sans-abri, les malades, les prisonniers, prendre part à l’accueil en famille, partout où Dieu vous conduira. Vous avez été créées pour démontrer au monde combien notre Dieu est grand par la façon dont vous vous occupez des pauvres et des opprimés.
Membre du staff de RRC et famille d’accueil
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De longues promenades avec des amies et du popcorn au fromage
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Quand a été la dernière fois que vous avez pris soin de « ces plus petits » ?
Vous sentez-vous plus proche ou plus loin de Dieu quand vous vous occupez des opprimés ?
La Bible est remplie de passages exhortant à prendre soin de « ces plus petits ». Lisez ces quatre versets pour imprégner votre esprit des Écritures et vous aligner sur le cœur de compassion de Dieu.
Passez cinq minutes avec Dieu. Réfléchissez à la façon dont il vous a équipée. Fixez vos pensées sur la catégorie de gens pour laquelle votre cœur s’émeut le plus. Après avoir identifié ce groupe, demandez à Dieu comment il peut vous utiliser pour apporter de l’aide dans ce domaine. En faisant cela pour « ces plus petits », vous le ferez pour Jésus. Je ne connais pas de plus belle façon de vivre l’Évangile.
Il n’y a plus ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ.
Il y a trois ans, ma vie était au plus bas. Un dimanche, j’étais assise seule à l’église, récemment divorcée, et sans mes enfants. J’avais passé l’année entière à pleurer, à lutter contre la dépression, et je voulais que la douleur s’en aille. C’est à ce moment que le pasteur évoqua le besoin de volontaires pour se joindre à leur projet « God Behind Bars ». Dieu a très délicatement, mais fermement, fait peser ce ministère sur mon cœur. C’était comme l’entendre dire : « Il est temps d’arrêter de te centrer sur ta propre peine, et d’aller servir. » Je n’avais jamais mis les pieds dans une prison auparavant, ni rencontré personne qui était incarcéré. Pénétrer dans l’inconnu suscita à la fois de la peur et de la curiosité. Pourquoi Dieu me voulait-il là, au milieu de ces gens ?
Les premiers mois passés entre les murs d’une prison avec des « détenues », à la fois pour des Life Groups et pour servir, ont constitué la période de ma vie qui m’a le plus ouvert les yeux. J’ai dû me battre avec l’impression de ne rien avoir à faire là, et je n’avais aucune idée de ce que je pouvais offrir. Je ne comprenais pas les mondes dans lesquels elles avaient vécu et pour sûr je ne comprenais pas le milieu de la prison. J’écoutais en silence les femmes me raconter leur histoire, s’encourager les unes les autres, et commencer à me faire assez confiance pour partager leur chagrin le plus profond. Assise dans ce cercle de femmes semaine après semaine, je me rendis compte que nous représentions la plupart des nationalités, des niveaux socio-économiques, des races et des religions, mais que nous étions malgré cela profondément unies. Si les circonstances de ma vie avaient été différentes, j’aurais pu me retrouver vivre avec ces femmes derrière les murs de la prison.
Au fond de nous-mêmes, chacune de nous désirait être aimée, être reconnue, être pardonnée et marcher vers l’objectif pour laquelle elle a été créée. J’ai grandi dans une famille chrétienne et ai cheminé avec le Seigneur la plus grande partie de ma vie, mais je n’avais jamais rencontré quoi que ce soit comme la foi de ces femmes. On leur avait tout retiré, je veux bien dire tout. Pourtant, leur pouvoir venait de ce qu’elles savaient à qui elles appartenaient ! Pour certaines d’entre elles, leur relation avec le Seigneur était tout ce qu’elles avaient. D’autres avaient été échaudées par la religion/l’église, et d’autres enfin ouvraient la Bible pour la première fois dans une cellule de prison.
Tous les obstacles qui séparaient le « moi » du « elles » disparurent. Il n’y avait plus ni délinquantes ni bénévole, ni criminelles ni victimes. Nous étions toutes unies. Je faisais partie d’une famille de femmes que Dieu avait créées pour un but et qu’il aimait profondément. Nous sommes toutes égales aux yeux de Christ. Nos différences ne nous séparaient pas, mais apportaient plutôt du charme et des points de vue individualisés à nos conversations. Ces femmes ont transformé ma vie de manière radicale. Cela fait maintenant trois ans que nous cheminons ensemble, côte à côte. Nous prions les unes pour les autres, nous nous encourageons les unes les autres, et surtout nous traversons cette période de notre vie en nous aimant. Le monde nous définit par la couleur de notre peau, l’argent dans notre compte en banque, et l’endroit où l’on dort la nuit. Pour Dieu, nous sommes TOUTES ses enfants qu’il aime profondément !
Bénévole dans le ministère de « God Behind Bars »
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Passer du temps à l’extérieur, en randonnée avec des copines.
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It’s Not Suppose To Be This Way par Lysa TerKeurst
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Quand vous rencontrez quelqu’un qui n’est pas comme vous, que pensez-vous à son sujet ?
Comment pourriez-vous interpréter Galates 3:28 avec vos propres mots ?
Choisissez une personne dans votre quartier, à l’école ou au travail, qui est d’une ethnie différente de la vôtre. Trouvez le moyen d’entrer en relation avec elle cette semaine et de la connaître un peu mieux.
Mais toi, tu dois parler pour défendre ceux qui n’ont pas la parole et pour prendre le parti de tous les délaissés. Parle en leur faveur : gouverne avec justice, défends la cause des pauvres et des malheureux.
Je fréquente l’église de Red Rocks, et pendant deux ans j’ai entendu maintes et maintes fois parler de la possibilité de s’engager dans un ministère appelé « God Behind Bars ». Chaque fois, je ressentais un petit « tiraillement » dans mon cœur m’incitant à m’inscrire, mais ma tête faisait sans cesse défiler toutes les raisons (excuses) pour lesquelles je ne le pouvais pas.
Avez-vous déjà senti (ou ressentez-vous en ce moment) que Dieu vous appelle à quelque chose, mais que vous avez beaucoup d’excuses ? du genre : « Ce n’est pas pour moi. Pas maintenant. Peut-être plus tard. Moi, que pourrais-je bien faire pour aider ? C’est trop effrayant et en dehors de ma zone de confort ; je n’ai pas vraiment le temps, ni les qualifications, ni ce qu’il faut, etc. »
Pour finir, je décidai de consulter le projet et de voir où il menait. Trois mois plus tard, ayant rempli les critères pour servir dans une prison, je me retrouvai assise dans un cercle, à étudier la Bible avec des détenues. Elles étaient d’âges, d’ethnies, d’arrière-plans divers, purgeaient des peines différentes (beaucoup étaient « à vie »), et avaient commis des délits variés. Pourtant, elles avaient toutes en commun le désir d’être reconnues, aimées, acceptées, pardonnées et valorisées ; c’est ce que nous désirons toutes. Ces femmes avaient été oubliées par leurs familles, leurs amies, leurs enfants, leurs époux, et par la société. Elles avaient l’impression que leur crime se confondait avec leur identité, et elles étaient souvent traitées comme si c’était le cas. Elles se sentaient « inférieures », négligeables, et beaucoup n’avaient pas d’espoir. Je n’avais aucune idée de ce que ma contribution pouvait être pendant les deux heures par semaine que je passais avec elles, ni comment je pouvais avoir de l’influence sur quiconque, ou faire une différence. Pourtant, Dieu m’a montré ce que lui pouvait faire au travers de mon obéissance : être présente et aimer ces dames là où elles en étaient. Il m’a aussi montré qu’il m’avait préparée pour « un temps comme celui-ci ». Dans votre vie, quels obstacles avez-vous franchis qui pourraient vous aider à encourager quelqu’un d’autre ? Quelqu’un qui n’envisage pas que sa vie puisse jamais changer ?
Au fil du temps, j’ai développé tellement de relations incroyables ! Chaque fois que je quittais la prison, ma joie intérieure me donnait l’impression de pouvoir marcher sur l’eau. Ces femmes étaient plus que reconnaissantes que l’on vienne passer du temps avec elles, les encourager, les aimer et leur montrer que toutes choses sont possibles avec Dieu. Elles furent très nombreuses à prendre ce qu’elles avaient appris (et l’exemple démontré par la vie des bénévoles) et à retourner vers leur cercle d’amies. Elles exercèrent sur elles une influence les incitant à mieux gérer leur vie. Une des femmes de mon groupe a été libérée, il y a trois mois. Elle va super bien ! Elle serait la première à vous dire combien sa vie est transformée à jamais parce que quelqu’un l’a aimée là où elle en était ; parce que nous l’avons aidée à considérer ce que sa vie pourrait être. Au sujet de celles qui l’ont aidée, elle répétait sans cesse : « Je n’avais jamais rencontré de personnes comme vous ! » N’est-ce pas triste ?
Pouvez-vous vous mettre en prière aujourd’hui et demander à Dieu quel est le domaine dans lequel il vous a préparée à servir ? Où pouvez-vous aider ceux qui sont dans le besoin ?
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Ce nouveau chapitre de ma vie par lequel Dieu m’a bénie
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La Parole de Dieu (c’est le top) et Dream Big par Bob Goff
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Des podcasts
Pensez à une personne dans votre entourage que les autres ignorent actuellement. Comment Dieu vous appelle-t-il à être une lumière dans sa vie ?
Quel est le problème social pour lequel vous avez passionnément envie de vous engager ? Quelle étape concrète pourriez-vous franchir aujourd’hui pour faire bouger les choses ?
Trouvez une organisation à but non lucratif qui sert actuellement de porte-parole pour ceux qui n’ont pas de voix. Faites leur connaissance et voyez s’il y a pour vous un moyen de participer.